Devenue omniprésente dans le débat sur le changement climatique, la sobriété est érigée tantôt comme un idéal, tantôt comme un repoussoir. Et toujours est soulevée la question de son « acceptabilité » au sein de la société : les citoyens seraient forcément réticents à interroger leurs besoins et leur mode de vie, et la sobriété impliquerait immanquablement de consentir à des sacrifices douloureux.

Qu’en est-il réellement ?

la revue The Conversation dans son édition du 10 octobre 2022 analyse les 4 scénarios proposés par L’ADEME, l’Agence pour la transition écologique